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Magic profite de la sortie de "Perennial", douzième album de Woods, pour faire le tour du propriétaire chez Woodsist, maison de disques pour americana indé et paisible.

La sortie de Perennial, douzième album de Woods, donne au label Woodsist, actif depuis 2006 et fondé par Jeremy Earl, tête pensante des deux projets, une 107e référence. Conçu au départ comme un moyen “DIY” de diffuser la musique de ses amis, Woodsist est devenu une institution-clef, identifiée pour avoir notamment accueilli les débuts discographiques de Kevin Morby ou Real Estate. Il reste assez méconnu en France car une bonne partie de ses disques n’y sont pas distribués en physique et car ses meilleurs poulains furent vite transférés. Dans ce catalogue, on pratique majoritairement l’art de la chanson. Les guitares ne sont jamais loin, les trouvailles sonores sont généreuses, le lyrisme plus ou moins débridé, les moyens d’enregistrement sont ce qu’ils sont et le tempo s’emballe rarement. À travers une sélection subjective de dix albums, Magic vous propose de mieux connaître une des institutions les plus robustes de la musique indé américaine, qui a aussi créé un magnifique festival – si vous traînez à New York, c’est la semaine prochaine (23-24 septembre).

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