Blood Orange réagit aux tensions raciales en musique

Onze minutes partagées entre récitations, chant éploré, aplats synthétiques, piano, Wurlitzer et beat accélérateur : c’est ainsi que Devonté Hynes alias Blood Orange s’est épanché de manière inopinée la semaine dernière, en musique, sur un morceau intitulé Do You See My Skin Through The Flames?.

Le songwriter a ainsi posé sur cette partition à rallonge de onze minutes – à la fois intense et gracieuse, comme une improvisation inspirée – ses réflexions sur le massacre de Charleston, les tensions raciales ayant cours ces derniers mois aux États-Unis, mais aussi sur des policiers butors à Paris, ses origines et celles des Noirs en général…

“Frustration and depression breaks me down/Descending like they wanted on the ground”… Ça commence fort.JTNDaWZyYW1lJTIwd2lkdGglM0QlMjIxMDAlMjUlMjIlMjBoZWlnaHQlM0QlMjI0NTAlMjIlMjBzY3JvbGxpbmclM0QlMjJubyUyMiUyMGZyYW1lYm9yZGVyJTNEJTIybm8lMjIlMjBzcmMlM0QlMjJodHRwcyUzQSUyRiUyRncuc291bmRjbG91ZC5jb20lMkZwbGF5ZXIlMkYlM0Z1cmwlM0RodHRwcyUyNTNBJTJGJTJGYXBpLnNvdW5kY2xvdWQuY29tJTJGdHJhY2tzJTJGMjEyODMwODM5JTI2YW1wJTNCYXV0b19wbGF5JTNEZmFsc2UlMjZhbXAlM0JoaWRlX3JlbGF0ZWQlM0RmYWxzZSUyNmFtcCUzQnNob3dfY29tbWVudHMlM0R0cnVlJTI2YW1wJTNCc2hvd191c2VyJTNEdHJ1ZSUyNmFtcCUzQnNob3dfcmVwb3N0cyUzRGZhbHNlJTI2YW1wJTNCdmlzdWFsJTNEdHJ1ZSUyMiUzRSUzQyUyRmlmcmFtZSUzRQ==

à lire aussi