Un nouveau titre, c’était déjà la surprise, mais là c’est carrément un album entier que ce bon vieux Christopher Owens vient de dévoiler sur le ouaibe.
Enregistré par le seul Christopher en studio, à San Francisco, avec simplement l’aide de l’ingénieur du son Jay Pellici et d’un ou deux musiciens additionnels (pour la batterie et les chœurs), Chrissybaby Forever a été boutiqué par l’Américain dans un petit périmètre en réaction à ses efforts solo précédents, réalisés de façon dispendieuse et surtout annonciateurs de tournées déficitaires (forcément, ça coûte bonbon de se trimballer avec des choristes, un orgue et tout le tralala).
Or donc, de l’aveu même du songwriter, on le retrouve au gré de ces seize titres en mode Girls, la guitare survoltée ou collée au cœur, flamboyant en mode lo-fi par-ci (Another Loser Fuck Up) ou parfait imitateur de Lawrence de Felt par-là (Me Oh My), drogué à la coule (Heroine (Got Nothing On You)) ou crooner impudique et émouvant (Waste Away) ailleurs.JTNDaWZyYW1lJTIwc3R5bGUlM0QlMjJib3JkZXIlM0ElMjAwJTNCJTIwd2lkdGglM0ElMjA0MDBweCUzQiUyMGhlaWdodCUzQSUyMDQ3MnB4JTNCJTIyJTIwc3JjJTNEJTIyaHR0cCUzQSUyRiUyRmJhbmRjYW1wLmNvbSUyRkVtYmVkZGVkUGxheWVyJTJGYWxidW0lM0QyODE2MTM0MzMwJTJGc2l6ZSUzRGxhcmdlJTJGYmdjb2wlM0RmZmZmZmYlMkZsaW5rY29sJTNEMDY4N2Y1JTJGYXJ0d29yayUzRHNtYWxsJTJGdHJhbnNwYXJlbnQlM0R0cnVlJTJGJTIyJTIwc2VhbWxlc3MlM0UlM0NhJTIwaHJlZiUzRCUyMmh0dHAlM0ElMkYlMkZjaHJpc3RvcGhlcm93ZW5zLmJhbmRjYW1wLmNvbSUyRmFsYnVtJTJGY2hyaXNzeWJhYnktZm9yZXZlciUyMiUzRUNocmlzc3liYWJ5JTIwRm9yZXZlciUyMGJ5JTIwQ2hyaXN0b3BoZXIlMjBPd2VucyUzQyUyRmElM0UlM0MlMkZpZnJhbWUlM0U=