Orwell, le projet de pop orchestrale du Nancéen Jérôme Didelot, a enregistré une mini session live diffusée en exclusivité sur Magic. Trois titres du dernier album en date, Parcelle Brillante, sont à découvrir comme vous ne les avez jamais entendus.
Ce n’est pas la première fois que nous vous parlons d’Orwell, dont nous avions notamment chroniqué le dernier disque Parcelle Brillante, sorti au beau milieu du confinement l’an dernier. Quoi de plus à propos finalement, qu’un des fleurons de la pop de chambre hexagonale pour nous aider à traverser cette période d’isolement collectif ?
A l’origine de la session live que nous vous dévoilons, il y avait un lieu atypique surnommé “Pix”, une demeure construite à flanc de colline dans les seventies, en périphérie de Nancy, fief de Jérôme Didelot. “La découverte de ce lieu a quelque peu motivé l’enregistrement de la session“, précise le musicien. Car au-delà de sa situation géographique peu commune, le style de la maison évoquait également “le célèbre quartier de Laurel Canyon à Los Angeles, d’où le nom de la session“, poursuit Didelot.
Au total, trois titres figurent sur cette session exclusive : Dérivation, Les mains de Bianca et Pourquoi savoir ?.
Tous sont issus du dernier album d’Orwell, Parcelle Brillante, sorti en 2020. La session prouve que le goût d’Orwell pour les productions soigneusement ouvragées n’empêche pas une certaine spontanéité de l’expression.
« Commencer avec un morceau instrumental était également une volonté, chaque album du groupe en recelant au moins un, une constante depuis « Des Lendemains » (leur deuxième album ndlr) paru en 2002 ».
Avec Parcelle Brillante, Orwell avait comme fil rouge la science-fiction et l’univers fantastique de Theodore Sturgeon, prolifique auteur américain du siècle dernier. La chanson Les mains de Bianca, présente sur cette live session, doit notamment son titre à une nouvelle de Sturgeon.