Vingt ans après une entrée fracassante sur la scène internationale avec le tube Take Me Out, Franz Ferdinand revient avec un septième album taillé à la fois pour les stades, les dancefloors, les fins de soirées, les road trips et les écoutes solitaires au casque.
«C’est un très bon album», nous affirme-t-on, comme rarement, en interview… On ne contredira pas Alex Kapranos. D’autant plus que le premier single, Audacious, porte le message (“Hey ho, you don't know, is it a joke? No, I said no / I'm serious, more serious than I've ever been / I've ever been…”) et qu’on est plutôt d’accord avec lui et ses propos péremptoires. Sept années se sont écoulées depuis Always Ascending, le groupe a dû encaisser les départs de Nick McCarthy et Paul Thompson (présents depuis les débuts), se souder à nouveau et se renouveler avec un nouveau line-up (Dinot Bardot à la guitare, Julian Corrie aux claviers et Audrey Tait à la batterie), mais l’enthousiasme d’Alex Kapranos est intact