Dans une discrétion absolue (malgré l’honorable “baiser de la mort” reçu du magazine The Wire il y a cinq ans), le songwriter écossais Alasdair Roberts fait paraître en ce moment via Drag City son nouvel album, qui s’appelle justement Alasdair Roberts. Un disque qui se veut biberonné aux racines du folk le plus traditionnel, dont le copain de Will Oldham nous livre sa version actualisée, ici en compagnie du manieur de clarinette basse Alex South et de la chorale Crying Lion, entre ombres et lumières.
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