Au détour d’une interview pour le site musical américain Stéréogoumme, centrée autour de son travail de producteur (pour No Joy ou Tamaryn récemment), on a appris l’existence d’un nouveau projet mystérieux dans lequel Jorge Elbrecht serait impliqué.
DRYNX, voilà comment ça s’appelle. En dehors de la localisation californienne et des tweets insistants de Jorge pour télécharger l’album Imperial Blastman, on ne sait pas grand-chose du lien qui relie le patron de Violens et de feu Lansing-Dreiden à Drynx Eddie, ce dernier étant apparemment le zinzin en chef de l’affaire.
Ne reste plus qu’à suivre les conseils d’Elbrecht et écouter Imperial Blastman, une collection synthpop allumée (voyez l’engin sur Instagram) et sexuellement détraquée (“My clitoris gets all large-in-charge/Who wants the milk?”) qui donne l’impression d’entendre le rejeton poilu et lubrique d’Ariel Pink et de Ween ou de Gary Wilson et de Chromeo.
“Douze chansons produites et mixées en moins d’une heure”, précise les zozos. Le pire c’est qu’c’est bien.JTNDaWZyYW1lJTIwc3R5bGUlM0QlMjJib3JkZXIlM0ElMjAwJTNCJTIwd2lkdGglM0ElMjA1NzBweCUzQiUyMGhlaWdodCUzQSUyMDQ3MnB4JTNCJTIyJTIwc3JjJTNEJTIyaHR0cCUzQSUyRiUyRmJhbmRjYW1wLmNvbSUyRkVtYmVkZGVkUGxheWVyJTJGYWxidW0lM0QyNzczMTE4NzIwJTJGc2l6ZSUzRGxhcmdlJTJGYmdjb2wlM0RmZmZmZmYlMkZsaW5rY29sJTNEMDY4N2Y1JTJGYXJ0d29yayUzRHNtYWxsJTJGdHJhbnNwYXJlbnQlM0R0cnVlJTJGJTIyJTIwc2VhbWxlc3MlM0UlM0NhJTIwaHJlZiUzRCUyMmh0dHAlM0ElMkYlMkZkcnlueG11c2ljLmJhbmRjYW1wLmNvbSUyRmFsYnVtJTJGaW1wZXJpYWwtYmxhc3RtYW4lMjIlM0VJTVBFUklBTCUyMEJMQVNUTUFOJTIwYnklMjBEUllOWCUzQyUyRmElM0UlM0MlMkZpZnJhbWUlM0U=