Dès ce jeudi matin, le numéro 211 de Magic, Revue Pop Moderne sera disponible dans tous vos kiosques à journaux et points de vente habituels. En voici le sommaire.
En couv’, la légendaire Cat Power qui revient à ses premiers amours avec son dixième album, Wanderer, qu’elle a écrit, chanté et produit seule. Rencontre avec une artiste engagée qui, à quarante-six printemps, n’a rien perdu de sa farouche authenticité ni de sa troublante humanité.
Ce numéro présente le puzzle pop de la rentrée. Une rentrée complexe, car généreuse par son volume et radicale par ses propositions. Notre cahier central assemble les pièces en commençant par les sept travaux que nous avons trouvés les plus intéressants :
- Chilly Gonzales. Le Canadien réactive le projet artistique qui lui a valu sa réputation de virtuose du piano. Un récit de Jérémy Pellet.
- Anna Calvi. Avec Hunter, Anna Calvi livre un troisième album d’une impudeur assumée. Cédric Rouquette est allé à sa rencontre.
- Villagers. L’Irlandais raconte à Benjamin Pietrapiana son cinquième album The Art of Pretending to Swim, totalement irradié par la foi.
- Spiritualized. Jason Pierce revient au sommet pour ce qui pourrait être son ultime cadeau au monde. Un entretien de Benjamin Pietrapiana.
- The Lemon Twigs. Brian et Michael D’Addario. racontent à Jean-Marie Pottier leur deuxième album Go To School dans lequel ils convient leurs parents et invitent leurs pères adoptifs, de Todd Rundgren à Big Star.
- Frànçois Atlas. Luc Magoutier nous raconte comment Frànçois Atlas se transforme en tant qu’artiste et adapte en musique Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, sans se retourner vers un passé si encombrant où figurent Ferré, Gainsbourg et Murat.
La rédaction de Magic a également tenu à rendre hommage à deux monuments de la musique pop : Aretha Franklin et Richard Swift. Elle a retenu dix biopics directement inspirés de la biographie de pop stars. Maxime Jammet a rencontré Pyrit, notre artiste “Presque Célèbre” de ce numéro. Wilfried Paris s’est aussi entretenu avec Agnès Gayraud qui vient bousculer les préjugés universitaires dans un essai qui devrait faire date, Dialectique de la pop.
Dans la section rembobinages, Pierre Evil nous raconte l’année 1988, la plus importante de l’histoire de la musique (même si personne ne le sait). Gregory Bodenes vous guide dans la discographie de Lloyd Cole tandis que Pierre vous explique l’histoire de la techno.
Vous retrouverez bien sûr votre fidèle cahier critique, riche de plus de 100 chroniques, mêlant nouveautés, découvertes et valeurs sûres.
Nous vous souhaitons une excellente lecture. Et si l’envie vous prend de vous abonner, c’est ici.