Plus que quelques heures ! En attendant, regardez les premières pages…
Presque 500% de l’objectif initial, plus de 1300 numéros pré-commandés… Ça nous fait tout bizarre d’avoir à faire tourner les chiffres comme ça, mais la campagne de pré-commande du numéro consacré à Jean-Louis Murat continue de susciter un enthousiasme qui nous dépasse.
Notre numéro d’été, en bonne partie consacré à l’œuvre de Murat et dont la publication a été retardée pour ce dispositif, est toujours en pré-commande jusqu’à jeudi 12h59. Nous avons prolongé la campagne avec notre imprimeur et notre routeur
Il ne rest que quelques jours pour distribuer au maximum ce numéro, et nous avons besoin de vous pour cela. Notre souhait : faire reconnaître Murat comme ce qu’il est – un artiste français majeur de la chanson française, compris par celles et ceux qui ont pris la peine de rentrer dans son œuvre – seul Magic semble en situation de le faire, et nous nous y employons presque 24 heures sur 24 depuis que que la conception de ce hors-série a été lancée.
Rappelons que ces pré-ventes s’adressent à un large panel : celui des personnes qui ne sont pas abonnées à Magic, mais aussi à nos suiveurs les plus fidèles, puisque ceux-ci recevront leur numéro quoiqu’il arrive. Et rappelons aussi que cette campagne constitue la première et la dernière chance de se procurer ce numéro – il ne sera distribué ni en kiosque, ni en librairie.
Avant qu’une forme de torpeur estivale nous gagne tous entre deux festivals, nous voulions vous permettre de prévisualiser quelques-unes des pages réalisées pour ce numéro. La double page d’ouverture du grand récit d’Agnès Gayraud sur l’œuvre de Murat. La discographie de Murat passée au peigne fin, avec des chroniques inédites. Le récit d’Annie Bossut, photographe du dernier concert de Murat. Si quelqu’un a une idée pour l’intertitre, on est preneurs…
Nous avons aussi mis la main sur quelques autres documents magnifiques. Mais à ce sujet, nous préférons vous laisser la surprise, évidemment ! 🙂
Bel été à toutes et tous, et surtout n’hésitez pas à partager. Il ne reste, après tout, que peu de temps.