C’est donc un album à la carcasse synthétique que Mark Lanegan dépote aujourd’hui avec Phantom Radio, le rockeur avouant pour l’occasion ses penchants pour le krautrock, la new wave et le post-punk britannique des années 80. Pour savoir comment l’Américain très bientôt cinquantenaire interprète ces racines, il suffit d’écouter là-dessous.
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17 octobre 2014